Il fallait que je la sorte

Il fallait que je la sorte Avant qu’elle ne me consume de l’intérieur Cette flamme qui dévore mon cœur Cette joie que je porte Quand je te vois Au détour de la rue Quand tu me réponds Ou plutôt me foudroie Par ton beau sourire Il fallait que je le sorte Avant qu’il ne me…

Elle était assise

Elle était assise Vu de dos L’on dirait Confortablement Mais il fallait la regarder de face Pour voir qu’elle avait pleuré Que dans son cœur Une tornade sans nom Avait arraché La seule rose du jardin Elle semblait paisible Plongée dans un autre monde Entre des pourquoi Et des comment Elle avait été vigilante pourtant…