Au creux de mon cœur, se cache la Casamance,
Terre de mélancolie, berceau de mes errances.
Tes paysages empreints de nostalgie,
Ont gravé en moi une douce mélodie.
Casamance, je me souviens de tes rives,
Baignées par les larmes des âmes qui survivent.
Les murmures du fleuve bercent mes songes,
Évoquant les douleurs qui grondent et qui rongent.
J’entends encore les échos des tambours,
Résonnant dans l’air, tels des cris d’amour.
Ils exhalent les espoirs et les prières,
Dansent avec ferveur, bravant les frontières.
Mais tes blessures, Casamance, sont profondes,
Des années de guerre qui grondent.
Les vies brisées, les familles dispersées,
Ont marqué ton sol, tes terres déchirées.
Et pourtant, en ton sein, une force inébranlable,
Un amour indomptable, une flamme incassable.
Les sourires qui renaissent malgré l’adversité,
Portent l’espoir d’une Casamance réconciliée.
Casamance, que tes rivières apaisent les peines,
Que les chants de tes enfants dissolvent les haines.
Puissent les blessures du passé cicatriser,
Et laisser place à la paix, enfin retrouvée.
Dans l’écho de mes mots, je t’envoie un souffle,
Un amour sincère, une prière qui s’effleure.
Que la Casamance trouve la quiétude,
Et que son peuple retrouve enfin sa plénitude.
Que ton ciel s’illumine d’une douce clarté,
Et que l’émotion authentique y trouve sa beauté.
Casamance, que mon amour pour toi résonne,
Éternel hommage à ta grandeur et à ta personne.
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Lien a la traduction italienne